En vrac

Voilà en vrac ce que j’ai à dire aujourd’hui.

Il fait cinquante degrés depuis trois semaines. J’adore l’été, car c’est la saison la plus simple pour choisir ses vêtements. Mais là, c’est vraiment trop chaud. ça me donne envie d’aller vivre au Canada.

J’ai mangé ma dernière cuillère de pâte chocolatée à tartiner. J’ai l’impression de raconter ma vie de manière ultra intime en disant cela. Bon, tant pis.

Je suis allé dans une boulangerie et j’ai demandé un pain Turc. C’est un pain rond et plat. On m’a dit « On n’a pas de pain turc. Par contre, on a du pain marocain, c’est rond et plat ». J’ai dit « Ok ».

Je voulais m’asseoir sur un banc autour des étangs d’Ixelles. Ils étaient tous pris. Je regarde la place à moitié libre à côté d’un couple. L’homme me vise du regard en croyant que je reluquais sa copine. Je voulais juste une place.

Chaque jour, j’écris une page de mon livre. Écrire un livre sur le minimalisme, ce n’est pas si simple. J’ai pensé à juste faire une page avec une belle couverture. Mais le minimalisme a ses limites parfois.

J’ai vu une vidéo sur le désencombrement de sa garde-robe. La comparaison est faite « C’est comme l’obésité, ça peut vous ralentir et causer des problèmes ». Effectivement, quand je regarde les minimalistes que je connais, ils sont tous assez minces. Et beaux. Et forts. Et intelligents. Et riches.

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