Un texte dédié à toi et à ma chère cité, capitale d’amour et de mystères.
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À Mons s’amoncent les vices
Les plus sombres et les plus tristes
Ils s’annoncent et s’enlisent
Sans s’isolant sanguinolant
Laisse-toi t’emmener
Laisse-toi tenter
Laisse tes laisses et déleste
Tout ce que tu es, étais, étant
Ici tu n’es plus, tu frémis
Dans un gouffre de rêves érotiques
Tu t’oublies, toute plie, soumise
À mon sens qui t’aimera si tant