En vrac
21h06 – Mon train arrive à Berlin. Je suis de retour dans cette ville. Ah oui, mon train est à l’heure, forcément. Voilà pourquoi j’aime l’Allemagne.
21h06 – Mon train arrive à Berlin. Je suis de retour dans cette ville. Ah oui, mon train est à l’heure, forcément. Voilà pourquoi j’aime l’Allemagne.
Nous nous baladons au parc Léopold en pleine nuit. Il n’y a personne d’autre. Mis à part quelques canards, un chat et un moustique.
« Pour pouvoir dire qu’on est heureux, il faut vivre aussi des moments malheureux ». C’est ce que j’ai entendu ce jour. Pour savourer la lumière, il faut connaître l’obscurité. Faut-il n’être ni heureux ni malheureux, juste bien?
23h50: Je me réveille en pleine méditation. Je me rends compte que j’ai oublié de publier l’article du jour.
Il est 22h53, j’écoute « Hey Bo Diddley » de Bo Diddley. Je me suis rendu compte que depuis trois ans, je ne mange qu’à la cuillère.
8h50: Autre cours de néerlandais avec un autre professeur. Il y a trois langues nationales en Belgique. Le néerlandais, le français et l’allemand. Un vrai pays pour minimalistes.
Durant les sept prochains jours, j’écrirai un article quotidiennement. Pour exprimer mes sentiments, mes joies, mes doutes, mes vices et plus si affinités. Ca commence maintenant.
À partir de quand pouvons-nous dire qu’on danse? Pareil pour le dessin, le langage ou la musique. Faire n’importe quel mouvement, est-ce danser?
La loi universelle et primordiale pour comprendre le minimalisme. Le principe: si on n’utilise pas un nouvel objet après sept jours, on ne l’utilisera jamais, ou presque. Découvrez l’article sur thelemonspoon.com
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