Mon bilan après un mois de quarantaine
Voilà près d’un mois qu’on doit rester à la maison. Il y a des avantages et des difficultés. Les voici pour ma part.
Voilà près d’un mois qu’on doit rester à la maison. Il y a des avantages et des difficultés. Les voici pour ma part.
Il est 13h45 et je me trouve dans le train en direction de Gand. J’ai les écouteurs sur les oreilles et j’écoute Circles de Digitalism. J’ai comme une envie de vivre plus d’intensité. Pourquoi et par rapport à quoi.
Le mois de janvier, c’est le bon moment pour faire le bilan de l’année passée et de se donner des objectifs pour l’année qui vient. Ok, on est en février et j’ai un peu de retard. Allons-y quand-même, hop là.
« Start as you mean to go on ». Comme on dit en anglais, il faut commencer comme on a l’intention de poursuivre. Et quand ça commence fort, il y a des chances que ça continue.
Dernière partie de ce qui s’est passé à la gare de Bruxelles Centrale durant 120 minutes.
La suite de me pensées désordonnées pendant que j’attendais à la gare de Bruxelles.
Le fil de mes pensées chaotiques pendant que j’attendais à la gare de Bruxelles entre 21h et 23h. Attention, ça peut choquer.
Cette après-midi, je me rends avec mon frère à la bijouterie. Il a décidé de prendre une nouvelle montre, solide et durable. Mais avons-nous réellement besoin de montre?
Effectivement, j’ai plus de 100 objets. Et je vous avoue que je ne les compte même plus.
Cela fait un an maintenant que je suis revenu à Mons, ma ville natale. Une charmante petite ville médiévale qui se trouve en royaume de Belgique. J’avais déjà écrit un article sur vivre en ville ou en campagne. Ici, c’est encore différent.